Pour les malheureux devant me supporter sur twitter ou facebook, vous aurez remarqué que je link ou retweet souvent un site en ce moment : One Song, One Day.
Mais pourquoi-t-il donc ma bonne dame ?, inquiquerez-vous à raison (du verbe “inquiquer” -un copyright So-, “action de s’interroger avec le sourcil du doute constructif : +Hein ? Qui ? Que ?+”). Ruinons ici tout suspense : il se trouve qu’on m’a proposé de rejoindre l’aventure pour ce début d’année, et que j’ai accepté.
One Song, c’est tout d’abord Cécile, qui postait une chanson par jour (les plus subtils avaient déjà percuté le concept) depuis environ deux ans. Et puis en fin d’année dernière, la lassitude s’est un peu installée, elle voulait arrêter. Faut dire que Cécile est un peu hyperactive, et qu’elle a plein d’autres trucs en cours à côté, en plus de son boulot.
C’était sans compter sur ses potes bruxellois, et les potes de ses potes. Nous sommes donc maintenant trois, en plus de Cécile, à proposer la musique que nous découvrons chaque jour :
Yann a la lourde tâche de s’occuper de vos débuts de semaine ; Mateusz essaye de faire en sorte que vous passiez à travers les mercredi et jeudi avec du bon son dans les oreilles ; Cécile s’est réservée le départ en week end ; et votre serviteur a le plaisir de sonoriser vos réveils de 14 heures du matin les samedi et dimanche.
Le principe est simple : se faire plaisir, et partager la musique que nous trouvons dans les recoins des internets participatifs, au hasard de nos pérégrinations du moment. Pas de limite de genre, de la reprise country à la J-pop. On ne va pas vous mentir, nous avons tous une tendance certaine à pencher du côté de l’indie folk / rock, tout d’même. Et comme on est un peu 2.0 sur les bords, rien qui ait plus de six mois.
Un petit aperçu de la sélection depuis le début du mois ? The Dø, Lykke Li, Noah and the Whale, Emily Jane White, Mogwaï, Rivers Cuomo, Anamanaguchi, Indian Jewelry, Jujiya & Miyagi, Iron and Wine, Yeasayer, Nóra, Adele, Mister Heavenly…
Voilà, on vous attend nombreux, parce qu’on ne se casse pas le cul à fouiner pour dégoter du bon matériel à esgourdes pour que le monde s’en foute. Quand même.