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La mise au rebut du lundi #2 – Le retour de la vengeance fatale du coude à piston.

On est encore lundi, j’ai le droit.

Imagine-toi que j’ai passé un peu trop de temps à faire autre chose que lire et écrire ces temps-ci, un comportement rêvé pour nourrir cette nouvelle ode à la procrastination, notre déesse-mère à tous, nous les gens des interwebz communautarisés.

Ce sont donc déjà les reports de quelques concerts qui ont sauté :

Tom McRae à l’Ancienne Belgique

Suckers + Yeasayer au même endroit. Pour ces derniers, j’ai triché un peu : j’ai pu en parler vite fait un peu ailleurs, donc ça ne compte pas.

Y’a aussi des films qui n’ont pas eu droit à de vibrants hommages ou à un soupir de déception :

The American (y’a une bien magnifique brune). Exercice très maîtrisé, un peu trop peut être, avec de biens beaux « paysages ».

Io Sono l’Amore (y’a une talentueuse blonde). Et pourtant je l’ai donc vu une seconde fois, mais j’ai tout donné dans la discussion d’après-séance avec Copilote (l’amie avec qui on rate régulièrement et consciencieusement les bandes-annonces pour des burgers). Deux fois que je n’en parle pas ici, et mal en plus. C’est un scandale, parce que c’est très beau ; impossible de ne pas ressentir quelque chose avec tout ce que Tilda Swinton nous balance en pleines mirettes.

Je me suis remis timidement mais sûrement aux séries télés US :

Rubicon, dévorée (du bon suspense très agréable).

Community, en cours, et qui semble mériter toutes les louanges de LOL qu’on lui prête.

J’ai revu de près une (petite) caméra avec un réalisateur derrière. Même que j’ai fait de la figuration dans un bar pour son long métrage : il se trouve que je fais très bien le mec dans un bar ; Actor’s Studio, tout dans la préparation, l’immersion, l’observation du réél. On en parlera peut-être le jour où ça sort, si je ne suis pas coupé au montage (syndrome mieux connu sous le nom de « malédiction de Ngee »).

Enfin, de mémorables et bien tenues occasions de lever vaillamment le coude ou de manier la fourchette avec entrain ne seront pas relatées ici.

En passant (oui je sais j’ai dit “enfin” plus haut, et alors ?), on va bazarder aussi deux ou trois débuts de brouillons sur des réflexions de comptoir qui ne changeront ni vos vies ni la mienne (surtout si je reste à ce niveau d’analyse surpuissant).

Eh ben c’est tout, mais c’est déjà ça.