J’ai eu le privilège de présenter sur scène la journée IN de la Biennale Internationale du Design de Saint-Etienne 2015 intitulée « Tiers-Lieux et plus si affinités » il y a une quinzaine de jours. C’était mon second séjour à St-É’, à l’invitation de mes compères et vétérans de la scène coworking francophone Yoann Duriaux et Antoine Burret, qui animent la POC Foundation, dont je suis membre.
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C’est l’hiver, le moment idéal pour écrire au chaud près du feu qui crépite dans l’âtre…
A la faveur d’une légère insomnie hier soir, je tombe sur le projet d’un ami belge qui cherche à participer à l’ouverture d’un laboratoire ouvert et citoyen dans le nord de Bruxelles. Un peu sur le modèle des copains parisiens de La Paillasse avec qui j’échange depuis janvier, un peu sur le modèle de ce que nous faisons ici à Lausanne depuis mars avec Hackuarium, un peu sur le modèle des amis spécialisés coworking de transforma bxl.
Bref, le monsieur à l’origine du projet, répondant au doux nom de “Hackistan” (KEUR AVEC LES PIPETTES!), a fait ses devoirs et sait ce qu’il veut accomplir. J’ai par ailleurs déjà croisé Pierre-Alexandre Klein, puisque c’est de lui dont il s’agit, dans le cadre de la Medialab Session : nous étions tous les deux mentors lors du dernier format [Playground], un hackathon de deux jours spécialisé “innovation dans les médias”, avec développeurs, designers et journalistes, étudiants ou confirmés, dans le nord de l’Angleterre à Preston, Lancashire.
Et puis cette question d’une personne intéressée : “Novice dans le milieu, je suis preneur de toute information concernant la philosophie, le fonctionnement, la gestion, le marketing, etc, des coworkings, diy-open spaces, fablabs et compagnie afin de pouvoir avoir une meilleure vue d’ensemble de ce qu’implique et représente concrètement ce type d’initiative…à tout niveau.”
Qu’à cela ne tienne, allons-y. Par quoi commencer pour se familiariser un peu avec le sujet ? Qu’ai-je moi-même lu, que suis-je en train de lire, quels liens faciles d’accès résument bien le sujet ? Viens, je t’emmène en Hackingland sans te tenir la main.